Migrants : osons la fraternité ?

Voilà ce que je peux lire dans le bulletin de la communauté de commune de Wittenheim , Kingersheim, Ruelisheim .

C’est noble , c’est louable mais la fraternité on peut l’oser si c’est possible , et je suis désolé la France d’aujourd’hui qui est un pays qui vit à crédit , qui a une dette colossale ne peut pas aider les migrants .

Si mon voisin vit dans une pauvreté extrême je ne peux l’aider que si j’ai les moyens de le faire .

La France a une dette de 2300 milliards , la seule chose que nous pouvons faire c’est réduire la dette en dépensant moins , hors c’est tout le contraire que nous faisons , on organise les jeux alors même qu’on nous annonce déjà 500 millions d’euros de déficit , on accueille les migrants qui coûtent des milliards aux contribuables français , c’est de la folie , c’est irresponsable .

Moi aussi je suis généreux mais généreux dans la limite de mes possibilités, la loi ne m’autorise pas à dépenser plus que je ne gagne , pour l’Etat aussi étonnant que cela puisse paraître ils dépensent comme ils veulent , et bien sûr c’est dans la poche des français qu’ils puisent à tout va , c’est beau de dire « Osons la Fraternité » .

Les français sont de plus en plus spoliés par l’Etat , c’est une honte , c’est tellement facile d’oser la fraternité quand l’argent vient de la poche des autres .

La misère des autres pays doit être traitée dans les pays concernés, oui on peut les aider pour ceux qui le peuvent mais chez eux .

Naturellement le pays n’aurait pas de dettes , bien sûr que tout qu’on pourrait aider la misère étrangère , mais une nouvelle fois la France n’est plus un pays riche mais un pays en cessation de paiement .

Pratiquement 80 % des Français disent non aux migrants , ce n’est pas parce qu’ils sont recistes , mais tout simplement ils savent que les caissent sont vides et c’est bien l’Etat qui fait la morale aux français pour ne pas dépenser plus qu’ils gagnent. Nous n’avons pas d’argent pour les migrants , c’est triste mais c’est ainsi .

Et je n’ai pas honte d’écrire que j’ai voté contre des aides aux migrants au conseil municipal .