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SERVIR WITTENHEIM SERVIR LA LIBERTE !!

Hausse de la criminalité en Europe . Rôle des migrants

Partout en Europe, les faits divers s’accumulent. Les chiffres officiels témoignent de l’échec d’une politique d’accueil finalement complice de la hausse de la criminalité dans nos pays. De plus en plus d’articles relayent des chiffres alarmants. En Allemagne, si l’on en croit les statistiques de l’année 2016, « les demandeurs d’asile sont des impliqués comme suspects par la police à un taux plus de 7 fois supérieur à celui des Allemands »[1]</a>. Dans le Land de Basse-Saxe, le Tagesspiegel rapporte qu’entre 2015 et 2016, la criminalité a augmenté de 10,4% et, selon l’équipe de recherche dirigée par le criminologue Christian Pfeiffer, le lien avec la crise migratoire ne peut être passé sous silence: « L’étude de l’équipe de recherche dirigée par le criminologue Christian Pfeiffer, qui a analysé le développement de la délinquance juvénile et réfugiée entre 2014 et 2016 en Basse-Saxe, montre que la violence dans cet état fédéral a augmenté avec l’arrivée massive des migrants. Résultat: au cours de la même période, le nombre d’infractions violentes a augmenté de 10,4%. Les responsables étaient principalement des réfugiés. Les faits ne peuvent pas être passés sous silence, d’autant plus que, pour la première fois, les chercheurs se sont concentrés spécifiquement sur cette catégorie de personnes, alors que d’autres statistiques criminelles ne font pas de distinction entre les réfugiés et d’autres migrants tels que les Turcs ou les Vietnamiens »[2].

Le drame de la Suède

En Suède, c’est une vague de viols sans précédent qui a frappé le pays. Et dans l’immense majorité des cas, les coupables étaient à la fois 1) non-Européens et 2) jeunes, et même très jeunes. Ainsi pas moins de 92% des viols graves seraient le fait d’Extra-Européens[3].Par ailleurs, la presse suédoise pointe également l’âge des violeurs.

<< Nous avons examiné 58 jugements depuis juillet 2012 […] Le profil type du violeur que nous observons est celui d’un homme jeune. Notre étude montre que seulement 14 délinquants avaient 30 ans ou plus. Une femme de 48 ans a même été violée par deux jeunes de 18 ans qui ont tiré une balle dans sa mobylette », souligne l’Aftonbladet[4] qui rappelle en outre qu’« en quatre ans, le nombre de jugement pour viols en réunion a doublé ».

Le sociologue Tino Sanandaji a traité de cette question dans son livre Massutmaning (MassChalenge en anglais, ou Défi de masse en français, hélas l’ouvrage n’a pas été traduit). Un livre à succès, malgré le boycott de nombreuses bibliothèques[5].

Italie ou l’échec de la bien-pensance

Durant ces derniers mois, de nombreux journaux italiens se sont attachés à démontrer que les migrants n’étaient pas impliqués, en Italie, dans une quelconque hausse de la criminalité. « Le nombre de crimes diminue, même ceux commis par des étrangers », peut-on lire par exemple sur Fanpage.it[6]. « Les chiffres démontrent que la criminalité n’a rien d’alarmant dans notre pays. Il n’y a donc pas de corrélation entre l’augmentation des étrangers et celle de la criminalité, comme le montrent en effet les données de ces dernières années, qui voient une baisse de la criminalité, malgré un plus grand nombre d’entrées en Italie ». Pourtant, le 6 février 2018, au Parlement Européen, Matteo Salvini déclarait: « En un an, les crimes commis par des ressortissants étrangers étaient de 250 000: 55% des vols, 51% de l’exploitation de la prostitution, 45% de l’extorsion, 40% des viols, 1 500 viols par an. Que fait l’Europe? »

En octobre 2017 déjà, dans Giornale.it, le journaliste Gian Maria De Francesco écrivait: « Voici les vrais chiffres: les migrants sont ceux qui commettent le plus de délits ». Plus précisément, « la probabilité qu’un étranger commette une infraction sexuelle est quatre fois plus élevée que celle d’un italien. C’est ce qui ressort des statistiques sur les viols déclarés au cours des sept premiers mois de 2017 par Viminale (siège du Ministère de l’intérieur) ». « En fait, ils commettent 37% des viols tout en représentant moins d’un douzième de la population »[7].

Pour rester dans la droite ligne de la bien-pensance, la presse italienne aurait-elle tout simplement menti? Qui dit la vérité? En tout cas, le peuple italien n’a pas donné raison à cette aile favorable à l’accueil des migrants. Le sentiment d’insécurité lié à la crise migratoire était sans aucun doute, lui, bien réel.

En France et en Belgique…

En France et en Belgique, il n’existe pas, à notre connaissance, de statistiques au sujet des crimes commis par les migrants. A défaut, la page « Faits divers » répertorie les faits divers relatifs à la criminalité et à l’immigration en France, au fur et à mesure qu’ils sont relayés dans la presse[8]. Tout le monde n’est pas en mesure de lire, à chaque fois, dans chaque article, toute l’horreur de ces faits macabres: viols collectifs, meurtres, tortures… A défaut, les chiffres disponibles pour des pays comme la Suède ou l’Allemagne doivent être connus et diffusés, afin de donner une idée des conséquences réelles d’une politique d’ouverture des frontières et d’accueil irréfléchi des migrants.

Un choix réaliste

La réalité doit être connue de manière à poser des choix. Non contents de frapper à nos 

portes, de nombreux migrants pénètrent illégalement sur notre territoire et multiplient les crimes en tous genres. Pas tous. Bien sûr. Certains d’entre eux sont sans doute vraiment des malheureux, des innocents qui fuient la misère et la mort. Mais nous ne pouvons plus ignorer la hausse de la criminalité qu’engendre la crise migratoire. La situation est trop grave pour s’en tenir à des positions guidées uniquement par l’émotion, suscitée ça et là par des photos chocs, comme savent en relayer les médias dominants, ou par des slogans qui nous encouragent avec candeur à « dépasser nos peurs » ou à « nous ouvrir à la différence ».

La réalité doit être connue de manière à poser des choix, ni en fonction d’une peur irrationnelle, ni en fonction de fantasmagories pacifistes ou multiculturalistes, mais simplement en fonction de la situation telle qu’elle se présente, en sachant faire preuve de bon sens.

La réalité doit être connue de manière à poser des choix justes, en accord avec notre conscience et avec nos convictions, spécialement lorsqu’on est catholique. Car en dépit des propos du pape François, être catholique ne nous oblige pas à prôner l’accueil massif des migrants. Il n’y a rien d’anti-catholique à opter pour une position différente, dès lors que protéger nos frontières revient à marquer notre solidarité envers les personnes qui nous entourent, nos familles, nos amis, nos voisins, nos compatriotes… Et tant pis si, pour cela, il faut afficher des positions différentes de celle du pape: en matière de politique, il n’est pas infaillible, et rien ne nous force à le suivre dans ce domaine. Il est regrettable que le Saint-Père n’envisage le problème que du point de vue des migrants et non en fonction des populations européennes. Serions-nous finalement les oubliés du pape François?

Quoiqu’il en soit, les chiffres sur la hausse de la criminalité liée à la crise migratoire pointent une réalité qui vient briser le rêve d’un monde sans frontière – et ce qu’on le veuille ou non –. Ils nous rappellent aussi que nous sommes responsables envers les personnes qui nous entourent directement : nos familles, nos compatriotes, ceux qui sont nés sur le même sol que nous… Nous n’avons pas le droit de les exposer au danger, à la mort et à la violence. Nous n’avons pas le droit de les sacrifier sur l’autel de sentences telles que : « Ne cédons pas à la peur ». Il est temps d’agir avec maturité, avec réalisme, avec responsabilité. Violette Dubois-François

 

 

 

 

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