Un peur dur le journal l'Alsace avec les réseaux sociaux ?

Aujourd'hui j'ai lu dans l'Alsace l'excellent éditorial de Laurent Bodin , pour lequel en grande partie je suis d'acord avec lui . 

Mais tout de même je le trouve pas très sympa avec son sentiment avec ceux qui utilisent les réseaux sociaux , il dit : les réseaux sociaux ont donné le droit à la parole à des légions d'imbéciles . 

Je lis l'Alsace depuis 1964 , j'ai collaboré avec ce journal lors de la grande aventure du << Cross National du Journal l'Alsace >>que j'organsais ,  collaboration fructueuse , un cross qui durant plusieurs années a eu droit à la une du journal . 

J'ai aussi eu droit quelques fois le droit d'être cité durant 25 ans comme opposant municipal , mais ça  n'a pas toujours été facile . 

Laurent Bodin pense que les réseaux sociaux sont de faux amis , et naturellement ça dérange le travail des journalistes , qui ne sont plus le monopole de l'information comme avant . 

Ce que je voudraisdire  à Laurent Bodin , qu'il à sans doute raison , beaucoup dans les réseaux sociaux racontent n'importe quoi , et ce n'est pas bien , cependant si  le Journal l'Alsace est un journal sérieux , on aimerait aussi qu'ils nous informent avec des infos telles qu'ils les reçoivent et pas nous imposer une information parfois aussi pas vraiment dans le vérité , ils nous disent aussi ce qu'ils pensent à leurs façons . 

Et ce que je pense aussi la presse en général donne beaucoup la parole aux hommes dirigeants politiques , souvent les mêmes , en cette période ils donnent trop souvent la parole aux médecins et par contre ils pourraient aussi donner la parole aux lecteurs sur l'actualité immédiate , ce qui est fait rarement . D'autant que plus de 70% des Français sont souvent en oppositions par rapport aux souhaits des hommes politiques , ce serait donc intéressant que parfois les citoyens puissent donner un sentiment sur l'actualité . Il y a bien le courrier des lecteurs qui écrivent sur des sujets déjà traités mais c'est très insuffisant , sur l'actualité immédiate il n'y a rien .